jeudi 24 décembre 2015

Balivernes nocturnes

Tous les soirs ou presque, c'est le même refrain. Je ressasse les mêmes idées, les mêmes paroles, les mêmes souvenirs, les mêmes questionnements. Les mêmes tourments.

Plus la date fatidique approche, plus je la redoute. La ou les dates, en fait je n'en sais rien. Sans même savoir ce que j'ose espérer ni sans être capable de mettre des mots sur ce que je redoute vraiment.

Je me dit alors qu'essayer, tant bien que mal, d'écrire ou de décrire ce qui se trame dans ma tête serait peut-être une bonne façon d'exorciser mes ressentis.

mardi 22 décembre 2015

[Poème] Les chasses

Avant-propos : Poème imaginé et esquissé au cours de l'été 2015, dans la Manche.


Parcourir les sombres recoins de ces routes d'antan,
redécouvrir ces sentiers au fil de l'imaginaire,
a parfois quelque chose de magique et d'exaltant
tout en restant inquiétant et plein de mystère

Tantôt boisés, tantôt ouverts sur le ciel,
à la fois repères de la faune et reflets de la flore,
il est aisé d'y voir écureuils et chevreuils,
tout comme d'y ramasser des fruits de terroir.

Ces chemins sinueux débordant de vie,
véritables lieux témoignant du passé,
sentiers tortueux offrant des raccourcis,
sont idéals pour se promener et voyager.


Jergame - Décembre 2015

dimanche 29 novembre 2015

Être licencié

Il y a quelques jours j'ai été cherché mon diplôme, quasiment trois ans après celui du Bac.
Me voilà donc officiellement licencié. Autrement dit, me voilà désormais possesseur d'une Licence. Qui l'aurait cru ?
Certainement pas plusieurs de mes professeurs du lycée, notamment en Terminale. J'entends encore ma prof de math (également prof principale) me dire qu'il vaudrait peut-être mieux que je me dirige vers un BTS plutôt qu'une licence, car elle ne me voyait pas dans un amphi devant plusieurs centaines de personnes. Il faut avouer, pour sa défense, que mes résultats scolaires de terminale, et plus globalement du lycée, ne jouaient pas en ma faveur. Des résultats justes, voire insuffisants.
Je ne lui en veux pas. Ses conseils étaient plutôt avisés, surtout lorsque l'on sait que 1/3 des étudiants en L1 ne finissent pas leur année. Selon mon dossier scolaire, j'avais de grandes « chances » de foncer droit dans le mur, comme beaucoup d'autres. Sauf que voilà, je ne suis pas comme les autres et il faut croire que mon profil correspondait bien à cette licence si particulière.

Être licencié c'est à la fois une délivrance une revanche.
Au lycée, ma scolarité fut très difficile, et redoubler la seconde m'a plus apporté un soutien d'un point de vue social que d'un point de vue scolaire. Faire le choix de poursuivre mes études alors même que je n'étais pas sûr d'obtenir le Bac n'a pas été évident. Plus tard, penser qu'on m'avait « donné » le bac parce que mon attitude en cours comblait mon faible niveau scolaire ne m'a pas aidé à me rassurer. Bien au contraire, plus la rentrée universitaire approchait, plus les doutes et inquiétudes redoublaient d'intensité. Le fait d'avoir obtenu cette licence est un grand soulagement. Cela prouve que j'ai réussi mes études et cela me rassure dans mes choix. De plus, c'est en quelque sorte une revanche par rapport à mes résultats scolaires, surtout lorsqu'en licence je multiplie par 2 ou par 3 certaines moyennes que j'avais pu avoir au lycée. C'est un beau pied de nez à ceux qui ne me faisaient pas confiance, et un réconfort dans mes capacités.

Être licencié est une fierté, un honneur même.
C'est une fierté d'avoir un niveau d'études supérieur à celui de ses parents, cela donne le sentiment que l'on peut répondre à leur espérance commune de « mieux réussir » qu'eux. De la même façon, c'est aussi un honneur de continuer ses études plus longtemps que tous les membres de sa famille proche. Rien ne me prédestinait à atteindre ce niveau d'étude. Je suis fier de mon « Bac + 3 », même si il me paraît parfois invraisemblable, et je suis honoré de poursuivre encore plus loin mes études.

Être licencié, c'est une reconnaissance et une récompense.
Plus précisément, c'est l'aboutissement de 3 ans d'études dans diverses branches des sciences humaines, et donc la reconnaissance d'un ensemble de savoir et compétences. Cette licence m'a permit d’acquérir un bagage culturel, un groupement de connaissances allant de l’anthropologie et la sociologie, en passant par la linguistique, la psychologie et diverses autres disciplines du champs des sciences humaines. La récompense à tout cela c'est en quelque sorte l'assurance d'être écouté et reconnu dans certains domaines. Non seulement j'ai acquis dans le fond des concepts et notions plutôt spécifiques, mais cette licence m'offre aussi de par sa forme une légitimité universitaire.

Maintenant, il ne me reste plus qu'à encore (et toujours?) poursuivre mes études, tout en m'impliquant dans certains débats de société sans avoir à me soucier d'un manque de capacité, de confiance en moi, de connaissances, ou même d'éventuelles remises en causes de mon cursus.

Jergame - Novembre 2015

samedi 21 novembre 2015

Normandie: histoires de séjour(s)

La Normandie. Ce petit village Manchois. Des champs et des bois à perte de vue. Un paysage vallonné, des routes sinueuses, et des petits chemins de traverses.
J'aime y faire du vélo. Rien de tel que de faire un tour de quelques kilomètres, pendant 15 ou 30 minutes. Les voitures sont rares, voire inexistantes selon les heures de la journée. C'est le genre d'endroit où l'on peut rester près d'une heure sur une portion de route sans qu'aucune voiture ne passe, sans croiser personne, à condition de connaître les bonnes heures. De la même manière, les petits tours sont dénués d'un fort trafic routier, ce qui donne un fort sentiment de liberté. Libre d'être seul sur ces routes. Chaque effort de montée est récompensé par une belle descente. Un peu de douleur pour un peu de sensations fortes, mais pour beaucoup de bonheur.
Les voisins sont devenus des amis, et d'année en année j’étends mon cercle de connaissance. Il n'est pas rare que j'organise des « sorties vélo » avec les plus jeunes d'entre-eux, l'occasion pour moi de profiter pleinement de ces journées. 11 ans que j'y viens, soit la moitié de ma vie.

Alors pourquoi ne pas vivre ici ? Habiter ici à l'année ? Rêve ou utopie biaisée je ne sais pas. J'ai longtemps hésité, et je dois avouer que c'est encore la cas, mais une chose est sûr, c'est que ce n'est pas pour aujourd'hui.

J'aime vivre ici. J'aime m'y sentir chez moi. J'aime le calme et la tranquillité qui y règnent.
Je viens ici en été, autrement dit au meilleur moment de l'année, ou en tout cas le moment le plus propice pour profiter d'un certain nombre de avantages de la région.
Sauf qu'il ne faut pas oublier de garder les pieds sur terre et d'être réaliste.
Heureusement, certains éléments sont là pour me le rappeler, à commencer par l'ensoleillement.

jeudi 12 novembre 2015

[Poème] La soultitude

Avant-propos : Essai d'écriture sous forme de poème, rédigé au milieu du mois d’août 2015.


La soultitude, un mélange de sensations,
entre l'isolement et l’appréhension.
Un peu de solitude mais pas que,
car il ne faut pas oublier d'être heureux.

Une seule idée, une seule mission,
simplement tenter de vivre sans pression.
Certes c'est une réplique un peu facile à dire,
mais nécessaire si l'on ne veut plus souffrir.

Si l'on est bien loin de la dépression,
n'oublions pas pour autant d'y faire attention.
Tentons alors de penser à autre chose,
le tout sans trouver refuge dans le glucose.

Horreur, malheur ! Quelle est donc cette comparaison ?
Rien que nos sentiments qui cherchent leurs expressions.
La soultitude, c'est aussi de la déprime,
se demandant tout le temps à quoi cela rime.

À aimer quelqu'un avec tant de passion,
on finit bien par en perdre toute raison.
Alors que faire ? Mieux vaut ne pas l'attendre,
la tristesse, rien ne sert de plus se morfondre.

Entre peur bleu et perte de motivation,
gare aux coups de sangs et aux impulsions.
Si l'on veut garder le sourir sans dépérir,
le meilleur moyen c'est de trouver du plaisir.

Pour ce, rien de tel qu'une forme de création,
comme par exemple l'écriture ou l'invention.
On dit adieu au blues et bonjour au moral,
bye l'isolement et welcome la vie sociale.


Jergame - Août 2015

mercredi 11 novembre 2015

[Coup de cœur] - MORTUS CORPORATUS

Conseillée par je ne sais quel Youtuber il y a quelque mois, j'ai retrouvé cette bande annonce dans ma playlist youtube des vidéos "à regarder plus tard".
Et quelle ne fut pas ma surprise. Une bonne et agréable surprise.
Une musique rythmée en entraînante, une idée originale et intrigante, rien de tel pour attirer ma curiosité.
Pour faire court, Mortus Corporatus est une Websérie de 10 épisodes d'environ 8 minutes chacun relatant avec humour le quotidien de faucheurs [de la Mort] au sein d'une entreprise, la Mort Inc.

On y retrouve un personnage principal, une sorte de Gaston Lagaffe, flemmard qui plus est, qui enchaîne une série d'échecs et n'arrive plus à faucher personne. Ce personnage soumis aux dures lois du monde de l'entreprise se voit alors confié un apprenti avec qui il aura pour tâche d'enfin réussir à faucher ses clients.

Quelques raisons du coup de cœur:

- l'idée originale
- les multiples méthodes imaginées pour provoquer la mort
- l'humour, que ce soit dans les gags ou dans les dialogues
- la description et le background des différents personnages
- la charisme de certains acteurs
- l'apparition de quelques "guests"
- les lieux de tournages variés
- le format court
- le montage rythmé et dynamique
- la musique et les bruitages
- le côté mi-amateur mi-professionnel de la Websérie

Si cette brève présentation vous à plu, ou si vous êtes encore dubitatif, je ne peux que vous inviter à visionner la série dont voici le premier épisode:

PS: Si vous n'êtes toujours pas convaincu après le premier épisode, alors essayez le deuxième !

mardi 9 juin 2015

[Revue du Web] - 08.06.2015

Pour cette nouvelle semaine, on reprend doucement avec une nouvelle revue du web.

Quand un pays très croyant cherche la cause des catastrophes naturelles, ça donne ça:
"La Malaisie accuse des nudistes d'avoir provoqué un tremblement de terre"


La création des jeux vidéos AAA au sein de la société de consommation:
Croissance : infertile terreau des AAA [2 minutes pour convaincre]


Un petit mot peut sauver un homme, et c'est un geste d'humanité:
« Note stupéfiante de @Ofpra produite à Calais pour un migrant soudanais arrêté à #pajol qui a permis sa libération. »

La police nationale a des comptes Twitter... et de l'humour !:

dimanche 7 juin 2015

Le printemps, cet inconnu de l'étudiant.

     Le printemps, cet inconnu de l'étudiant.

Alors que ma troisième année d'études s'achève, l'heure est venue de faire un bilan, mais pas un bilan ordinaire, non, plutôt un bilan météorologique. En fait, pour être plus précis, il s'agirait plus d'une forme de réflexion.
Au fil de ces trois années, j'ai pu observer le temps qui passe et les paysages qui évoluent.
Avoir environ une heure de trajet pour aller à la Fac, à pied et en transport en commun, ça peut avoir de l'intérêt, pour quiconque est observateur.
Être étudiant, c'est aussi en quelque sorte vivre dans le cycle métro-boulot-dodo. Or, vivre dans ce rythme c'est aussi vivre au gré des saisons, sans pour autant en profiter.

Prenons l'année scolaire à son commencement. Septembre. Début des cours, on profite plus ou moins du soleil de fin d'été indien, si le temps est clément.
Les vacances de la Toussaint participent à faire disparaître les feuilles des arbres. D'une semaine à l'autre, on ne reconnaît plus le paysage. D'une semaine à l'autre, on se rend compte que l'automne est bel et bien là. D'ailleurs, les journées qui se raccourcissent le rappellent assez vite. Il fait de moins en moins jour le matin, et de plus en plus nuit tôt dans l'après midi.
Les semaines de décembre, (les dernières du premier semestre de l'étudiant) sont assez chargées, résultat on ne les voit pas forcément passer et on se retrouve en vacances de Noël.
De retour en janvier, après la semaine de révisions et la période de partiels, les cours reprennent progressivement, tout comme le train train quotidien. C'est ainsi que fin janvier, lorsque les vraies pleines semaines de cours arrivent, on se rend compte à quel point beaucoup de choses ont changé. On va en cours en pleine nuit, tout comme on en sort en pleine nuit également, que l'on finisse à 18 ou à 20h.
Puis viennent assez vites les vacances de février, après lesquelles on redécouvre la lumière du jour. Le soleil reprend progressivement possession des journées, il sera aidé en mars par le changement d'heure.
Arrivent les vacances de pâques, période de finalisation des derniers travaux universitaires, durant laquelle on ne voit pas le temps passer. S'en suit quelques cours éparses sur une ou deux semaines, et puis c'est la fin, la fin des cours. Même si trois semaines plus tard auront lieux les derniers partiels de l'année, c'est à ce moment là que l'on se rend compte des changements. D'un côté les arbres ont regagné leur feuillage, les fleurs pullules, les paysages verdissent. D'un autre côté, la chaleur fait jeu égal avec la pluie, on ne sait pas très bien comment s'habiller, pour le peu de temps que l'on passe à se déplacer en extérieur.
Pour finir, les partiels se terminent, les cours aussi, enfin. On peut profiter du temps... et de l'été qui pointe déjà le bout de son nez, tout comme la vague de chaleur de ce début de mois de juin vient de le montrer.

C'est ainsi que l'on peut dire qu'entre les vacances, les périodes de rushs, les examens, et les périodes de peu de présence en cours, le printemps est un grand inconnu pour l'étudiant, d'autant plus si il est geek. Le printemps débutant fin mars et se finissant théoriquement fin juin, il n'est vraiment visible que très peu de temps, à partir du moment ou l'étudiant geek passe peu de temps en dehors de chez lui une fois les cours finis. En effet, les transports restent un des seuls contacts avec l’extérieur.

Il ne reste plus qu'a profiter de l'été, qui reste un peu plus visible, et il faut bien ça pour prendre des couleurs avant de repartir pour une nouvelle année rythmée par les cours et visible à travers les trajets quotidiens. Puis, septembre arrive, c'est le retour aux études, la fin de l'été, et c'est reparti pour un tour, ou plutôt un nouveau cycle saisonnier..

Jergame - Juin 2015

vendredi 5 juin 2015

[Revue du Web] - 05.06.2015

Aujourd'hui vendredi 5 juin 2015, jour de forte chaleur, pas de retour sur les diverses fusillades ni sur les infanticides et autre mornes nouvelles, ce n'est pas le but de cette revue.

Commençons par la vidéo de l'animal rare du jour:
"VIDEO - Un bébé kangourou albinos en Russie"

Un verdict historique sur bien des points, ce qui rouvre le débat sur la fin de vie:
"La Cour européenne des droits de l'Homme a validé ce vendredi l'arrêt des soins à Vincent Lambert"

Une des explications au déclin de la démographie japonaise, ¼ des hommes de 30 ans encore vierges:
"Vierge à 40 ans, le mal-être du mâle japonais"

Une critique vidéo sur ma série littéraire préférée lorsque j'étais ado et le film qui en est issu:
"Adaptation #23 : Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire"

La petite pointe d'humour du jour, le parachutage d'un vétéran en pleine ville:
"Surprise Landing Veteran Prank !"

jeudi 4 juin 2015

[Revue du Web] - 04.06.2015

Troisième revue du Web de la semaine, on tient le cap même ce n'est pas encore à heure fixe !

Pour bien commencer la journée, rien de tel qu'un bon détournement d'image:
« Quand tu vas avec ta maman à la réunion parents-profs de l'Elysée »

L'info à la fois insolite et médiatique:
"Crayola met en garde contre les tutos beauté des Youtubeuses"

L'aboutissement d'une épopée humaine et historique:
"L'Hermione" arrive aux Etats-Unis après sa traversée de l'Atlantique :

Les pubs sponsorisés Twitter, ça aussi parfois du bon:
L'Occulus Rift utilisé chez Airbus
https://pbs.twimg.com/tweet_video/CGGE2EjUoAA1Bvh.mp4
https://twitter.com/AirbusGroup/status/603909889862209536

Dopage : la victoire en intra-veineuses #DATAGUEULE 39
Retour chiffré sur une hypocrisie collective autour du dopage, présent partout mais tabou.


mercredi 3 juin 2015

[Revue du Web] - 03.06.2015

Rien de spécial en ce mercredi 3 juin, peu de contenu pour cette revue du Web, malgré quelques vidéos plutôt intéressantes et des images intrigantes !

Le micro onde qui donne du sourire:


Bohr, l'étudiant troll - quickie 08 - e-penser
Une introduction à la mécanique quantique qui revient sur une légende urbaine.


Le WTF du jour: Godzilla, officiellement citoyen japonais.
Il n'y a qu'au Japon qu'on peut voir une telle chose.


Loteries : le rêve derrière des grilles #DATAGUEULE 38
Quelles sont les réelles chances de gagner à la loterie, et à qui cela profite vraiment ?

mardi 2 juin 2015

[Revue du Web] - 02.06.2015

Avant-propos: Je reprend un concept que j'avais testé une fois et qui sera potentiellement régulier durant le mois qui vient.

"Une revue du web, rien de nouveau, que du déjà vu, c'est le principe de revoir quelque chose.
Aucune régularité de prévue, tout dépend de la richesse en contenu du jour, et l'infime pourcentage que j'aurai vu passer.
Pas de thème principal, ça peut toucher à tout. Education, économie, culture, informations, nature, politique, sciences, sous forme d'anecdotes, de créations, de parodie ou autre. 
Message dénoté ou connoté. Avec ou sans humour. Dénonciateur ou déconneur. Tout est subjectif. 
Une liste non exhaustive de ce que j'ai pu voir et/ou lire dans la journée, que ce soit via Twitter ou sur YouTube. Donc, potentiellement du nouveau pour vous, comme du déjà vu.
Pas d'analyse, pas de critique, juste une courte description si nécessaire."



Maladies à vendre #DATAGUEULE 37 
Une utilisation pertinente des chiffres pour dénoncer les abus en terme de médicaments.

La saucisse pour tous #DansTonFlux45 :
De l'humour à relié avec un certain engagement.

Le juste pour rire du jour : Des policiers voleurs de sucettes
La réaction des passants vaut le détour, à voir pour sourire !


La découverte vidéo-ludique du jour :

Autant ce jeu mérite le coup d’œil pour sa patte graphique et pour son histoire, autant sa bande son est a elle seule une raison suffisante pour découvrir ce "beau jeu".

 


La photo intrigante du jour:
"Toiture en tongs provenant des décharges de Ouagadougou, exposition Hors Pistes"
https://twitter.com/almondesert/status/605712798392401920

vendredi 27 mars 2015

OOR: Mes amis, mes amours, mes emmerdes.


OOR (anciennement OORGaming). Out Of Reality. En dehors de toute réalité. Au delà de toute réalité... Le groupe porte bien son nom. D'ailleurs plus qu'un simple groupe, OOR est une communauté, un regroupement de fous tous plus tarés les uns que les autres.

jeudi 19 mars 2015

[Brève d'Actu] Menus de substitutions: mesure de subdivisions ?

Avant-propos : Brèves d'Actu est un nouveau concept dans lequel je vais tâcher de reprendre un sujet d'actualité qui me tient à cœur en le commentant et si nécessaire en le critiquant. Mon propos ne sera pas spécialement structuré, et le développement sera limité. Afin de permettre la brièveté et la régularité de ce type d'article, je fais le choix de ne pas faire de recherches approfondies et de ne pas citer les éventuelles déclarations des différents protagonistes. L'idée ici n'est pas de fournir un argumentaire très fourni, mais plutôt de mettre en avant, de manière claire et synthétique, les idées et/ou les incohérences du sujet abordé telles qu'elles m'ont interpellé.

vendredi 9 janvier 2015

Je suis Jergame. Je suis Jeremy. Je suis Charlie.

«Horrifié et bouleversé pour les victimes et leurs proches.
J'ai aussi peur de connaître les motivations des assaillants... »
Tels ont été mes premiers mots.

Horrifié par ce qui venait de se passer, autant par l'homicide que par le symbolique.
Bouleversé pour les victimes, l'état de santé des blessés, et la détresse de leurs proches.

Ce sont la plupart des mes valeurs qui se sont trouvés attaquées à travers cet attentat.
On peut dire de moi que je suis un utopiste, car je préfère encore ça à être résigné.

Je suis profondément touché car se sont mes convictions les plus intimes qui sont atteintes.